Les faits
Madame X a acquis en septembre 2005, par acte authentique de vente en l’état futur d’achèvement, un appartement dans une résidence à titre d’investissement immobilier locatif devant bénéficier d’une défiscalisation.
Elle a financé son acquisition à l’aide d’un prêt immobilier.
Elle a donné le bien à bail commercial à la société G pour une durée de neuf ans à compter de la livraison intervenue le 23 juin 2006.
Le 27 juin 2014, l’exploitant a informé Madame X de son intention de résilier le bail aux conditions initiales, en raison de la baisse de rentabilité de l’appartement.
Un nouveau bail a été conclu à effet du 31 octobre 2015 prévoyant un loyer réduit par rapport à celui prévu initialement.
En mai et juillet 2016, l’acquéreur, se plaignant d’une baisse de rentabilité et d’une surévaluation de la valeur de son bien, a assigné le vendeur, le mandataire, la banque et la société d’assurance en nullité pour dol de la vente et du prêt, subsidiairement en indemnisation des préjudices résultant du manquement du vendeur et de son mandataire à leur devoir de conseil.
La Cour d’appel d’Agen, dans une décision du 9 juin 2021 a débouté Madame X. Cette dernière s’est pourvue en cassation.