I. Les faits

Madame C est décédée le 12 juillet 2009, en laissant pour lui succéder son fils A, et en l’état d’un testament olographe portant la date du 26 mars 2009 et instituant une autre personne (B) légataire d’un ensemble immobilier et de son contenu. Le fils héritier a assigné B en nullité du testament.

Il résultait en l’espèce d’un rapport d’expertise judiciaire déposé le 1er juin 2021 que C n’était pas l’auteure du « 9 » de la date « 26 mars 2009 » apposée sur le testament litigieux, ce dont il résultait que celui-ci n’avait pas été entièrement écrit de la main de la testatrice.

Pour le requérant, ce vice formel devait emporter la nullité, sans qu’il y ait lieu d’examiner le moyen tiré de l’insanité d’esprit de la testatrice.

II. La décision

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