Les faits
Monsieur K était coiffeur et exerçait à titre individuel. Il a été mis en redressement puis liquidation judiciaire en juin 2016 puis en juin 2017.
Par une ordonnance de juillet 2019, le juge-commissaire a autorisé le liquidateur à procéder à la vente aux enchères publiques d’un bien immobilier appartenant au débiteur et à son épouse, Madame X. Cette dernière avait la jouissance exclusive du bien qui constituait sa résidence principale depuis une ordonnance de non-conciliation de juillet 2010 rendue au cours de la procédure de divorce des époux.
Madame s’est opposée à cette vente, estimant que la résidence principale étant insaisissable.