Quoi de plus commun qu’un contrat d’assurance-vie ou qu’un contrat de retraite dit « Madelin » ? Tout travailleur non salarié en a souscrit, ou s’est posé la question d’en souscrire. Les critères de choix entre ces deux véhicules de capitalisation semblent simplissimes… : plus la pression fiscale augmente, plus le Madelin, fiscalement déductible, s’impose.
Cela nous semble tout sauf évident !
Analyse par PIERRE YVES LAGARDE